La Vérité, c’est que le monde doit changer (28/7). Le Pèlerinage est un moment essentiel d'élévation et de libération spirituelle.

  • Vue sur le clocher de la Maison de la Sainte Parole à Arès
  • Vue sur la cour intérieure de la Maison de la Sainte Parole à Arès
  • Vue intérieure de la salle de prière de la Maison de la Sainte Parole à Arès
  • Vue intérieure de la salle de prière de la Maison de la Sainte Parole à Arès

Le Pèlerinage d’Arès place chaque homme, autonome et responsable, seul face à son Créateur.  
Cependant le Père de l’Univers promet son soutien et son aide dans la restauration de cette Vie spirituelle qui est libre par nature. Les femmes et les hommes qui changent leur vie pour changer le monde par l’exercice du Bien, de l’amour, du pardon… et qui en invitent d’autres à faire de même puisent lors de leur pèlerinage un force particulière.

Si à Arès on ne vient pas chercher des miracles, le pèlerinage est  cependant ouvert à toute personne croyante, quelle que soit sa religion, ou incroyante à condition qu’elle respecte ce lieu et son but

Prière libre. Aucune cérémonie ou rituel.

Si sur le lieu des Théophanies, le pèlerin prie dans la Bible, le Coran et La Révélation d’Arès
puisque la Parole donnée à Arès est dans la continuité des révélations précédentes, il  prie, médite ou lit librement sans déranger personne. Il prie pour lui seul, à voix basse, et choisit ses propres lectures.

La prière a pour but de se remémorer la Parole de Dieu pour garder à l’esprit ce qu’il faut accomplir, c’est-à-dire le changement personnel et le changement social, les deux voies inséparables du retour à la Vie spirituelle.

La prière est la source vivante d’une foi dynamique, volontaire, créatrice et donc existentialiste. 

Le fidèle d'une religion, juif, chrétien, musulman ou autre, est parfois étonné de la latitude qui lui est laissée de prier comme il veut autant que du bonheur qu'ont les Pèlerins d'Arès de partager avec lui leurs habitudes de piété (la tunique, les pieds nus, etc.), quoiqu'ils ne l'y contraignent pas.

C'est parce qu'il ne perçoit pas tout de suite que le Pèlerin d'Arès n'est autre qu'un homme ou femme de bien, un pénitent sans religion qui ne différencie pas entre eux tous les pénitents sur terre, quelles que soient leurs métaphysiques personnelles.

Ni un Pèlerin d'Arès ni aucun autre humain en quête de salut n'est soumis à des obligations religieuses.

Le seul sentier de salut est la pénitence, qui consiste à aimer son prochain, pardonner les offenses, faire la paix avec tous partout, penser et parler avec l'intelligence du cœur (32/5), être libre (10/10) de tous préjugés, et pour l'avenir à se préparer à tout partager avec tous dans le partage et l'anarkhia

Le Pèlerinage n'est pas plus une obligation qu'il n'y a à Arès d'obligation de prier de telle ou telle façon.

Le Pèlerinage d'Arès n'est autre qu'une puissante nécessité de la conscience personnelle.